INTRODUCTION


Sortir des sentiers battus et regarder en arrière le passé de la ville de Garenne Colombes souvent appelée "Village" par ses élus bétonneurs . Le seul blog qui montre comment était autrefois La Garenne, et révèle comment l'architecture de la commune évolue avec la multiplication des surélévations "mansart".

Méfiez vous des contrefaçons

Certains bâtiments, bien que classés à l'inventaire du patrimoine, ont été consciencieusement rasés depuis trente ans, la spéculation immobilière a chamboulé cette petite ville et continue de le faire.

Ce blog est aussi la mémoire d'un quartier entier livré aux bétonneurs , avec le campus pseudo-écolo Engie qui remplacera PSA

L'immeuble Foster de la place de Belgique a définitivement transformé cette place en carrefour, il a aussi scindé définitivement la ville en deux . Le quartier des Champs Philippe est densifié à outrance . Qui nous disait, l n'y a pas si longtemps "il n'y aura pas de bandits immobiliers à La Garenne " et que "sa plus grande réalisation d'élu était d'avoir protégé sa commune de l'appétit des promoteurs "?

On n'a plus trop envie d'en rire.

Max Philippe

mercredi 19 mai 2010

Episode 14: Retour au 5 rue Voltaire

D'abord quelques cartes postales en guise de réponse à la question d'avant hier:
0013.jpg0015.jpg
0017.jpg
0006.jpg

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


Il s'agit de la chapelle située sur le terrain de la colonie de vacances de la Paroisse Saint Urbain aux  Molunes dans le Jura près de Septmoncel.
Aujourd'hui plus de colonie de vacances mais il est possible d'utiliser les locaux comme gîte.Et nous voilà de retour rue Voltaire au 5 - centre paroissial-, c'est le début d'une longue histoire qui commence dans la deuxième moitié des années 80 lors du boum immobilier; quand ont disparu, les petits pavillons et les petites industries au profit de petits immeubles de standing. Quand, avec une mise de 5 millions de francs(750 000 €) on pouvait acheter une ou deux parcelles soit une surface de 800m2 , avec un COS (coefficient d'occupation des sols ) de 1.25 fixé par le POS (on ne disait pas PLU à l'époque) on pouvait construire 1000 m2 de surface habitable vendus aux alentours de 25 000 francs (4000€) le m 2. Il ne reste plus qu'à faire une petite soustraction:
en Francs ( et n'oubliez pas qu'il s'agit de francs années 90, regarder le prix de la baguette à cette époque) c'est plus impressionnant:
donc nous disons un bénéfice brut de 25 000 000 de francs auxquels on retire la mise de départ, 5 000 000 de francs et le coût de la construction environ 30 à 40% du bénefice brut suivant la qualité de la construction donc une opération bien bénéficiaire.
On comprend mieux pourquoi le début de la rue Voltaire côté impair est devenu ce que l'on voit maintenant.
Dormez bien et bonjour chez vous.

1 commentaire:

  1. commentaire de Jean Jacques
    Le modem ne sait plus quoi inventer, que des insinuations, votre place est Rue Lauriston. C'est minable.

    RépondreSupprimer