INTRODUCTION


Sortir des sentiers battus et regarder en arrière le passé de la ville de Garenne Colombes souvent appelée "Village" par ses élus bétonneurs . Le seul blog qui montre comment était autrefois La Garenne, et révèle comment l'architecture de la commune évolue avec la multiplication des surélévations "mansart".

Méfiez vous des contrefaçons

Certains bâtiments, bien que classés à l'inventaire du patrimoine, ont été consciencieusement rasés depuis trente ans, la spéculation immobilière a chamboulé cette petite ville et continue de le faire.

Ce blog est aussi la mémoire d'un quartier entier livré aux bétonneurs , avec le campus pseudo-écolo Engie qui remplacera PSA

L'immeuble Foster de la place de Belgique a définitivement transformé cette place en carrefour, il a aussi scindé définitivement la ville en deux . Le quartier des Champs Philippe est densifié à outrance . Qui nous disait, l n'y a pas si longtemps "il n'y aura pas de bandits immobiliers à La Garenne " et que "sa plus grande réalisation d'élu était d'avoir protégé sa commune de l'appétit des promoteurs "?

On n'a plus trop envie d'en rire.

Max Philippe

samedi 18 décembre 2010

Comment le cinema théatre est devenu le cinéma Voltaire et comment la salle des Fêtes va devenir un véritable Palais de la Culture que nous envieraient bien des républiques bananières

Le théâtre se transforma en cinéma, la structure de la salle de spectacles fût conservée,et devînt la salle de cinéma avec un balcon et le pavillon fût modifié pour devenir l'entrée du cinéma.



Il y a dix ans  la municipalité  n'avait pas la folie des grandeurs et était plutôt près de ses sous , elle  avait rechigné à racheter le cinéma pour  le rénover: trop cher;  nous aurions eu une salle équivalente à celle du théâtre d'Asnières ou à l'ancienne salle Jean Renoir à Bois Colombes. Aujourd'hui on ne compte plus et on nous promet un véritable Palais de la Culture.
Mais pour les Garennois, cela se résume à 7 ans sans cinéma, sans une salle de spectacles acceptable, et pour finir un projet dont on n'est même pas sûr qu'il aboutira, en effet si l'EPADESA a un autre projet pour l'emplacement choisi, la commune n'aura qu'à se plier à la décision de l'établissement public.

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Le Cinéma de quartier sera détruit

Carole Sterlé 26/02/2003

L'ARRÊT DE MORT du Voltaire est signé. Sur les façades décrépies du dernier cinéma de La Garenne-Colombes, un panneau blanc a remplacé les affiches chatoyantes qui ont fait les grandes heures de cette salle obscure. La ville vient finalement d'accorder un permis de démolir au promoteur Franco-Suisse Bâtiment, qui devrait y construire des logements, réduisant à néant tout espoir de voir rouvrir un jour le cinéma des années folles, fermé depuis une quinzaine d'années. « Où sont les promesses électorales de notre maire ? interroge Philippe Shwall, trésorier d'Art3c, association culturelle de La Garenne-Colombes. Il n'y a aucune structure culturelle en centre-ville, mis à part la grande salle municipale, en lisière de Nanterre, et le Cercle des arts plastiques, qui propose une salle plate et une scène bruyante. Les seules projections sont assurées par le Ciné-Club. » Avec son balcon desservi par deux escaliers, le Voltaire était l'un des derniers cinémas « velours rouge » qui accueillait il y a encore quelques années « la Dernière Séance » présentée le mardi soir par Eddy Mitchell.

Dans les rangs de la mairie, on explique que « tout a été fait pour conserver et relancer le cinéma », sans toutefois pouvoir « assumer financièrement la réhabilitation » d'un site laissé à l'abandon depuis quinze ans. « Pas viable pour les finances de la commune » « Nous avons fait trois consultations techniques qui ont abouti à la même conclusion : ce n'est pas viable pour les finances de la commune », indique-t-on en mairie. La location à la place ayant remplacé la location au forfait depuis une trentaine d'années, les majors du cinéma n'ont aucun intérêt financier à investir dans une salle unique. Après avoir jeté l'éponge en accordant au promoteur un permis de démolition, la mairie assure rechercher d'autres sites pour relancer un cinéma ailleurs, sans toutefois avoir de pistes précises. Parmi les nostalgiques du Voltaire, on pense bien aux ateliers municipaux en centre-ville et on s'émeut que la ville ait réussi à décrocher un commissariat et pas un cinéma. LA GARENNE-COLOMBES, HIER. Le cinéma le Voltaire sera détruit et remplacé par des logements.

Le Parisien
Cet article a été publié dans la rubrique Hauts de Seine

Dormez bien et bonjour chez vous

1 commentaire:

  1. Nous aurions pu avoir un beau cinéma/theatre en centre ville, mais la municipalité a préféré acheter un pot rouge pour le meme prix. Si la politique c'est faire des choix, ceux de Philippe Juvin sont tout simplement ridicule et ce n'est pas pret de s'areter : Médiatheque, salle des fetes, et ... parking

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