INTRODUCTION


Sortir des sentiers battus et regarder en arrière le passé de la ville de Garenne Colombes souvent appelée "Village" par ses élus bétonneurs . Le seul blog qui montre comment était autrefois La Garenne, et révèle comment l'architecture de la commune évolue avec la multiplication des surélévations "mansart".

Méfiez vous des contrefaçons

Certains bâtiments, bien que classés à l'inventaire du patrimoine, ont été consciencieusement rasés depuis trente ans, la spéculation immobilière a chamboulé cette petite ville et continue de le faire.

Ce blog est aussi la mémoire d'un quartier entier livré aux bétonneurs , avec le campus pseudo-écolo Engie qui remplacera PSA

L'immeuble Foster de la place de Belgique a définitivement transformé cette place en carrefour, il a aussi scindé définitivement la ville en deux . Le quartier des Champs Philippe est densifié à outrance . Qui nous disait, l n'y a pas si longtemps "il n'y aura pas de bandits immobiliers à La Garenne " et que "sa plus grande réalisation d'élu était d'avoir protégé sa commune de l'appétit des promoteurs "?

On n'a plus trop envie d'en rire.

Max Philippe

dimanche 12 avril 2015

Jean Marie et ses deux nénettes

Si le feuilleton de la famille Le Pen qui se déchire, vous agace et que vous pensez que ce n'est qu'un nouveau  coup monté par  le  père et  la  fille ( toujours  aussi prompts à agiter  l'épouvantail du  complot)  pour redorer l'image du parti d'extrême droite avant  les  prochaines échéances  électorales. Le  père  jurant  finalement  qu'on ne l'y prendrait  plus .
Si  vous  pensez  que  cette  pseudo opération  ""catharsis" ne  débouchera  sur  rien et n'est qu'un écran  de  fumée pour masquer les malversations  du FN  ( qui finalement  n'ont plus  rien  à envier à celles  de  ceux  qu'il  désignent sous  le  sigle d'UMPS - serait-ce  le  vrai signe  de  dédiabolisation). 
Si  vous  pensez que le  Front  National comptera  toujours  dans  ses  rangs des  nostalgiques  de  l'extrême droite  virulente  des  années  trente,  des nostalgiques  de  l'occupation et  du  Maréchal, des nostalgiques  de l'Algérie  Française, des  membres  du cercle  Kléber  Haedens,  cette  mascarade ne  vous  intéresse pas  .

 
Puisque  nous  avons  évoqué  Kléber  Haedens, le  Village  connût  lui  aussi  les  mêmes turpitudes en  2001,  souvenez  vous:
En 2001 , le  défunt Docteur  Max  Catrin qui  était   maire  du  Village depuis  1975  avait  promis  à  celui qu'il  considérait  comme  son dauphin, le  maire  actuel du  Village de  prendre  sa  succession  en  lui  promettant  de  soutenir  sa  candidature. Lorsqu'au  dernier  moment Max  Catrin, ne  se  trouvant pas prêt pour une  retraite (il  avait alors 72 ans )  décida  de  rempiler tout en espérant  briguer  un  mandat de  sénateur, le  sang de  l'actuel  maire  du  Village  ne  fit  qu'un  tour,  il décida  de  se  présenter  en  rameutant  quelques proches  de  Max  Catrin et  en  lui reprochant  les  magouilles  des  son directeur des  services  techniques (dont  il était  au courant  puisque  maire  adjoint) . S'ensuivit  une  campagne  assez  nauséabonde dans  laquelle les  amis  de Max  Catrin  s'en  prirent  à  l'actuel  maire  du Village  à  coup de  bandes  dessinées( la  fameuse  planche  "Papa  je  veux " dans  laquelle ils brocardaient  M. Juvin l'accusant  de  vouloir  être  calife  à  la  place  du  calife comme  un enfant  gâté). On  connaît  la  suite, le  vieux  docteur fut  évincé  par  le  jeune. Quelques  aficionados  se  plaisent  à raconter  comment,  peu avant  les   élections , le  jeune  loup tacla  son aîné en  désignant  le  bureau  qu'il  occupait  et  en  lui  disant  que  ce  serait  SA place  dans  peu de  temps .
Max  Catrin   disparut de  la  vie  garennoise, jusqu'à une  récente  sortie "architecturale",  peu avant  son décès  avec son ex-adversaire où ce  dernier  lui  fit  découvrir  comment  il avait  continué  son œuvre  de  bétonnage  du Village.
Max  Catrin  était  souvent  décrit  comme  peu aimable , plutôt   raciste et  bien  ancré  à droite ( membre  du Centre  national des  indépendants  et  paysans );  il  avait aussi  refusé  de délivrer  des  PACS.
 Au conseil  municipal, le maire  du   Village a fini  par ressembler  à son mentor; même  s'il a  davantage  de  groupies  au  premier  rang  dans  le  public. Le  mépris  des  opposants est  toujours  le  même,  mais il a  banni de  son  vocabulaire le vocable  "socialo- communistes "  dont  Max  Catrin  gratifiait généreusement   ses adversaires .
L'histoire  étant  un  perpétuel recommencement ,  on se  demande  qui  jouera  le  même  tour  pendable  dans six  ans   au maire  du Village ?
 Cherchez  le  dauphin .

Dormez  bien et  bonjour  chez  vous



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